Perdue dans une ruelle labyrinthique de Tropea. Ciel chargé, lumière particulière, qui rendait plus particulière encore cette cité, vestige de splendeurs passées, aux murs gorgés d’humidité, qui ne pouvait masquer sa lente chute, aseptiser une atmosphère de décomposition. Je n’ai pu faire taire les images du Parfum, ni les mots de Patrick Süskind, lors du premier regard, et de tous ceux qui ont suivi, sur cette insolite et belle petite ville calabraise. Je cherchais en vain un stylo, un semblant de papier. Besoin d’écrire, tenace, persistant. Comme une morsure.